Si parfois tu ressens un malaise diffus, une impression que quelque chose cloche, alors que tout autour de toi le monde fait semblant d’aller bien…
🧐.. tu n’es peut-être pas le problème (??)
Si parfois tu te sens fatigué dans les pressions systémiques, en décalage, en incompréhension, peut-être que c’est justement parce que tu es entrain de le trouver « ton propre nouveau mouvement de santé ? »
🌈✨
🌪️Peut-être que, dans ce grand corps humain malade à vouloir scier l’arbre de vie, tu es une petite cellule, humaine, qui se pose juste quelques questions ?
Peut, être ?? 🤗🤗
« Spirales Dynamiques » est un outil qui fonctionne remarquablement pour observer les dynamiques d’existences
– des sociétés
– des individus (🧐donc de petit « moi dans un monde que je ne comprends pas toujours très bien)
Cependant, la plupart des gens se concentrent uniquement sur l’axe vertical de la Spirale… Mais il y a aussi un autre regard à oser : l’horizontalité, qui titille la personnalité du grimpeur de conscience /ou de la grimpeuse de conscience… Et ce, au-delà du simple passage d’un niveau à un autre.
Se comprendre et agir avec tact ne se limite donc pas au regard d’une progression linéaire vers un stade plus avancé… mais faire de son mieux là où on en est…
🌈✨
🌪️C’est en combinant verticalité et horizontalité, puis en rebossant notre communication, que nous pourrons mieux faire bouger la richesse de nos évolutions (personnelles et collectives)
Enfin, c’est ce que je crois.
Si ça te dit qu’on en parle…
Spirales Dynamiques : Agrandir notre capacité à comprendre le monde qui nous entoure, pour pouvoir mieux se comprendre soi-même dans ce monde, ça peut être utile (-;
Coluche… Que se passe-t-il lorsqu’on change de rôle, lorsqu’on troque son costume pour un autre ?
Imaginez un artiste, habitué à la scène, à son personnage, à son public. Puis un jour il enlève son petit bout de cuir rouge (nez de clown), enfile un beau costume et se retrouve face aux politiciens. Son public est toujours là, le porte encore. Il les regarde et leur lance :
🗣 « J’arrêterai de faire de la politique le jour où vous arrêterez de nous faire rire. » Le ton a changé, la dynamique n’est plus la même : la scène a changé, le masque a changé. Toute l’énergie qu’il avait investie pour incarner ce personnage libre, capable de tout dire à son public, s’est transformée en une autre mission.
Peut-être que la liberté d’expression n’est pas un état fixe ?
Je crois que c’est un travail de l’instant, une présence d’acteur ou d’actrice, qui certes se prépare en media-training mais se réinvente au moment de la prestation. Toute une dynamique de mouvements. La Spirale en permet la compréhension.
Concernant notre grand Coluche (politicien des restaurants du cœur) c’est une dynamique qui peut parfois sembler se perdre… mais qui visiblement se réinvente, sous d’autres formes, par d’autres individus. Peut-être toi, ou… toi ?
🌈✨Spirales Dynamiques permet de se regarder bouger au cœur de ce grand cœur sociétal, qui lui aussi bouge… pour trouver le courage de faire, et le talent de (se)dire, par son meilleur tact (-;
La communication est une forme de nourriture. Nous nous nourrissons des échanges, des mots, des gestes, des émotions que nous partageons avec les autres. Mais lorsque le respect est absent, que le canal de communication est fermé, cette quête de connexion vitale peut se transformer en violence, en une tentative d’arracher à l’autre ce dont nous avons besoin.
L’irrespect, c’est une manière brutale de chercher à se nourrir.
C’est pourquoi il nous revient de travailler notre charisme, d’inspirer le respect, de poser nos limites :
🛑 « Ai-je dis cela ?
💬 « Que cherches-tu à me dire ? Que cherches-tu vraiment à exprimer ? »
Se respecter soi-même c’est d’abord reconnaître que nous avons du pouvoir dans nos interactions. Pour atteindre une éloquence reconnue c’est ça que nous travaillons en coaching mediatraining : l’ouverture de voix et de voies.
En prenant soi-même conscience de cette force (notre puissance de parole), nous pouvons choisir de l’utiliser de manière constructive, pour nourrir des relations plus saines et plus authentiques.
Nous vivons dans un monde multicolore, où se côtoient une multitude de valeurs /pensées /croyances, toutes différentes et en constante évolution. Mais parfois, en première boucle de Spirale, se mettent en place des cercles vicieux, fermés sur des représentations qui font que tournent en rond des paradoxes menant souvent à la guerre.
Par exemple, en Bleu et en fonction de nos affiliations liées à nos Vérités Ultimes très personnelles « les mêmes causes entrainent des effets très différents avec la même certitude d’être sur le droit chemin ». Il nous faut alors nous ouvrir à…
S’ouvrir à cette diversité est un acte de courage. Une audace qui passe avant tout par la capacité à exprimer pleinement et utilement les couleurs qui coexistent en nous. Ainsi, être soi et savoir le dire, nécessite de mobiliser les différentes ressources de notre personnalité, d’aller puiser dans nos profondeurs ce qui nous énergise naturellement.
L’enjeu n’est pas de s’enfermer dans une seule teinte, mais d’apprendre à jouer avec tout le spectre de notre propre conscience, en ouverture, pour mieux comprendre le monde et interagir avec lui dans toute sa richesse.
Les valmèmes sont ces structures profondes qui façonnent nos valeurs et influencent notre manière de penser et d’agir. Ce sont des référentiels partagés qui nous rassemblent en groupes et nous donnent l’impression que notre façon de voir le monde est la bonne.
Dans notre cercle social, nous trouvons du réconfort à évoluer avec des personnes qui partagent nos valeurs. Nous avons raison d’être ce que nous sommes, nous avons raison de penser ainsi. Et plus notre groupe nous semble cohérent et vertueux, plus nous avons tendance à rester dans cette boucle…
Parler, ce n’est pas juste une question de mots. C’est un engagement du corps tout entier. J’ai vu des regards s’illuminer, des têtes se balancer instinctivement pour mieux ressentir les vibrations. Parce que oui, quand on s’autorise à laisser sortir sa voix, quelque chose d’unique se passe.
C’est une énergie qui pétille, qui résonne, qui prend corps. Les harmoniques explosent quand on est pleinement soi-même. Et à cet instant précis, il n’y a rien à corriger, rien à améliorer. Il n’y a qu’une chose à faire : s’amuser.
Laissez votre voix vivre, vibrer dans la présence, s’épanouir. Parce qu’elle est déjà parfaite, telle qu’elle est.
On nous répète sans cesse qu’il faudrait chercher à devenir la meilleure version de nous-même. Derrière cette idée séduisante se cache pourtant une injonction qui relève davantage du marketing que du développement personnel authentique.
Être Soi, plutôt que se conformer à un idéal ?
Cette quête permanente d’amélioration peut nous éloigner de l’essentiel : être simplement nous-même.
Voix et Voie, mon rôle n’est pas de transformer qui que ce soit en ce que je croirais être bon, mais d’accompagner chacune/chacun à trouver ses justes rebond (ça-juste place à travers un travail de voix). L’évolution voix et voies se fera ensuite naturellement, par résonance… Tout est vibration (-;
Spirales Dynamiques : outil pour mieux se comprendre
Vous n’avez pas besoin de retenir chaque détail, ni de vous enfermer dans des catégories. Ce qui compte, c’est de pratiquer l’esprit de cet outil : une grille de lecture qui vous permet d’explorer votre propre fonctionnement, d’identifier vos leviers de croissance et de mieux comprendre les interactions Spiralées qui nous entourent.
Liberté et cadre : un équilibre à trouver
Bien sûr, il existe des règles. Nous vivons dans des systèmes structurés qui imposent des cadres et des limites. Mais ces règles ne sont pas des chaînes. Au contraire, elles peuvent être des repères, des appuis, parfois même des éléments à transgresser consciemment pour ouvrir de nouvelles perspectives.
L’important est de se sentir libre là où l’on est, suffisamment libre d’exprimer ça-qui fait vraiment sens pour nous. Avec aussi la capacité d’écouter des rétroactions, pas nécessairement confortables…
Et si nous arrêtions de vouloir être « autre que ce que nous sommes » pour simplement être… Être parfois vraiment beaucoup mieux ensemble?
Si nous voulons que poétique et prosaïque puissent au mieux s’harmoniser (se transce-en-danser), il est essentiel de cultiver un état d’ouverture (-;
Dans cette vidéo : petit résumé/compilation, après une journée de travail, pour imaginer comment bougent en-Nous les empilements des consciences. Des couleurs qui s’écoutent dans la voix et, parfois, nous ouvrent à de nouvelles voies.
D’après les historiens, une époque dure jusqu’à ce qu’il y ait « rupture » et qu’il nous faille changer pour de vrai, évoluer. Et apparemment nous y sommes « dans la faille ». Avec une énorme peur de la faillite. Et une énorme perte de confiance, évidemment.
Nous changeons en permanence, mais sur la base de ce qui nous gouverne. Souvent des peurs et des désirs contradictoires… Des paradoxes qui créent les courts circuits neuronaux nécessaires pour que le monde continue sa course folle et que le peuple privilégié jouisse d’en être satisfait(souvent en faisant semblant de se plaindre, pour obtenir encore plus).
Monsieur le président, La vraie confiance peut-elle s’ordonner, s’acheter ?
Serait-il utile de relire Maslow et les enseignements de sa pyramide ? La sécurité est au-dessus des besoins existentiels ; ce sont nos besoins existentiels qui sont gravement touchés et pour obtenir notre confiance il faudrait, je le crois, mettre la transition écologique au cœur (et au début) de votre prochain discours. Même si c’est inconfortable.
Suffirait-il de faire peur puis de rassurer en s’appuyant sur une fragile sécurité… Poser quelques caméras et satellites à la place des étoiles ? Et aussi sortir beaucoup d’argent (alors qu’officiellement nous n’en avions plus pour oser la transition écologique lorsque c’était encore dignement possible) ?
Une meilleure humanité ? Les caméras peuvent-elles nous y aider ? Des caméras partout auraient-elles empêché de voir les images d’un homme qui crève sous les genoux d’un fou, ou au contraire est-ce que ça les auraient rendues plus nettes, sur internet ? Farce est de constater qu’elles y sont déjà les images, dans les médias, et que pourtant loin de nous calmer, les climats semblent se réchauffer… plus vite que prévu !
Tant que nous serons obligés de défendre nos droits, nos droits ne seront pas acquis ; tant que nous serons obligés de faire semblant d’avoir des gestes citoyens, nous ne serons pas vraiment des citoyens heureux, paisibles, libres…ouverts aux autres !
Et moi, confortablement installé derrière mon ordinateur, suis-je prêt à changer ?
Nous faudrait-il encore juste un petit effort de conscience pour comprendre que la continuité passe, maintenant, par une implication personnelle – et non des regroupements à se battre contre les autres sans vraiment rien changer de soi ?
Puisque nous sommes en rupture, changeons de logique ! Bifurquons, inventons ! Mais pour y arriver, je ne peux que changer ma façon de me comprendre : Moi, en parlant à l’Autre.
Même maladroits nous pouvons apprendre à un peu mieux nous parler ; mieux se dire et mieux créer, ensemble. Et même… même lorsque l’Autre ne sait pas me parler – ce con, si moi je sais l’écouter et lui reparler, il me reparlera souvent mieux ; mieux vrai !
« L’enfer c’est les autres… » Lorsque cette phrase arrive à la fin de la pièce de Jean Paul Sartre, le Huis Clos s’arrête. La suite de ce théâtre infernal s’appellerait-elle aujourd’hui : déconfinements ?
Vais-je profiter de mes moments de vacances pour faire mes propres petits pas, « dire qui je suis et ce que je propose » même si les autres me font peur, même si les contextes me pressent à croire que c’est la guerre ?
Ouvrir ma voix – qui va ouvrir de nouvelles voies ?
Beaucoup y travaillent pendant les vacances… En bleu, quelques mots sur mon activité… vacante. Puis si l’envie t’en dis, sous le bleu, la suite de cette newsletter plutôt noire.
Proposition : Communication orale : coaching, media-training en lieu ressource*
nettoyer certains bruits qui perturbent mon canal de communication avec les autres,
trouver estime et confiance à (me) proposer dans ce que j’imagine être le bon sens commun,
comprendre l’enfer qui me ment, parfois.
Parler à l’Autre… Regarder pousser « ça » qui a envie de réfléchir.
Burnout, bore-out, brown-out, ou juste pour être un.e encore meilleur.e communicant.e, tu es bienvenu.e pour venir travailler tes burns (et le reste), en ressourcing dans mes bois.*
*accueil et nuitée dans une cabane en haut des arbres, sécurité garantie (chez ma voisine, préparée à te recevoir mieux que Disney – c’est-à-dire à moins de 12000 personnes par jours) !
L’enfer… c’est les autres ? Que faire ?
Triste de constater que certains nous tiennent encore à terre jusqu’à ce qu’on en crève parfois, alors que précisément nous voulons apprendre à nous relever pour ensemble marcher vers une meilleure humanité.
Avant de cheminer vers nos mondes étonnants (pour certains l’idée sera donc de se ré-amasser à 1200 personnes/jour chez Disney ; voir les mickeys,et ce merveilleux Dingo qui dodeline sa grosse tête au sourire figé) revisitons les paradoxes de ces derniers jours.
« Quoi faire ? » me demandait une belle dame masquée, les yeux plein de larmes… Probablement ne pas sur-nourrir le monstre qu’on ne souhaite pas voir grandir, ai-je répondu. Nourrir l’essentiel, de son mieux. La confiance revendra… peut-être.
« J’ai peur… », a-t-elle sangloté(oubliant de me parler aussi de ses désirs et petits pas qu’elle se sentait de faire – pour aller vers là où elle choisit d’aller mieux).
Cette pulsion de peur des autres, qui fait se resserrer les cœurs et souvent mal parler est légitime, mais il nous faut la traverser. Certes nous devons être vigilants à notre environnement, il y va de notre survie : les autres sont effectivement porteurs d’étrangetés, parfois de virus – l’histoire le prouve !
Mais l’Autre est aussi porteur d’autres choses… Une autre culture. Un autre modèle. De l’évolution ! Cette évolution dont nous avons tellement besoin maintenant. Une évolution qu’il ne faut pas couper, en fermant mes frontières sur mes petits égos, me cachant derrière mes masques
Alors la période est trouble ? À nous de traverser cette peur des autres. Peut-être se demander si ce gilet jaune que je vois à la télé représente à lui seul l’ensemble des gilets jaunes ; si ce flic en furie représente l’ensemble des gardiens de la paix ; si ce noir, ce blanc, ce politique, cet entrepreneur, ce voisin…
Que se passe-t-il lorsque je ne m’aime plus et ne m’appartiens plus, que l’estime de moi-même fout le camp et qu’en même temps je canalise ma hargne sur « les autres », ce salaud dangereux que je tiens à terre, ce salaud qui fait que je suis en colère, très en colère et très soutenu parcelles et ceux de ma caste – des gens bien, en qui j’ai confiance?
Que se passe-t-il ? Je ne suis plus moi-même l’être gentil, vivant, simple, ouvert, de bonne volonté. Et j’en veux aux autres – qui ont fait de moi « ce que je suis obligé de faire : redescendre aux enfers ».
Quoi faire de ce surmoi qui me pousse à… ? Je m’effondre et pleure, seul.e. derrière mes masques sociaux ? Puis hurle mon désarroi et me déchaîne et me ré-enchaîne à cette violence que je sens en l’autre – et qui en moi me fait si peur ?
Quant aux vacances des ONs…« Ils préparaient des voyages et ils avaient des opinions. Comment auraient-ils pensé à la peste qui supprime l’avenir, les déplacements et les discussions ? Ils se croyaient libres et personne ne sera libre tant qu’il y aura des fléaux. » Albert Camus, La peste.